Au vil caractère épars, que la monotonie s'insinue dans nos vies, comme plaît détruisant de l'intérieur la flamme des beaux jours, puisque sans elle nous ne somme rien, corrompu par la mollesse de la relation que l'on subit. Il est préférable de l'entretenir même si son champ peut être révélateur d'un mal plus profond. Il n'y a pas d'idée plus morose que ce rendre compte que jadis, nous étions heureux mais le temps ayant trépas cela reste désastreux. Emplie de doute avancé reste désuet face au tumultueux récif sur lequels on navigue. On forge notre carapace par le biais de notre sang écarlate, pour moins souffrir même si s'éloigner des autres ça nous oblige. Nombreux sont les récits décriant cette vérité mais abandonner par les idées noires on ne contemple, qu'une seule constante celle d'arborer une vie moins belliqueuse. Voilà pourquoi chacun de nos actes semble imprévisible, car qu'importe le comportement la souffrance reste universelle, la fuir ou là combattre et s'ouvrir forme un même cycle. Celui d'une perpétuelle quête d'euphorie même si notre devenir peut faire pâlir.