Nous sommes des angoisses aliénatoires en mouvement que le capital a intégré à son processus de valorisation et qui n'ont pour possibilité d'expression que de se faire une place dans la valorisation narcissique du travail, du couple, de l'enfantement, et de tous les mécanismes par lesquels le quotidien demeure la prison du capital. Le capital ? C'est la mise en scène de mon esclavage et de ma non-vie. Si je veux vivre en tant qu'être humain, si je veux des désirs d'humain, si je veux des satisfactions d'humain, je dois me repositionner sur la communauté de l'Être, qui est la négation radicale de la société de l'Avoir.